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- Toú a entendu quéquéchose ?
- - Putana dé con, tou parle trop fort, va prévenir El Jefe... Doucément...
- Main sur le colt, le gros mexicain fit ce qu'il peut pour contourner le feu sans bruit et se dirigea vers la tente endormie ou pionçait leur chef.
- - Jefe, Jefe, réveillez-vous, pendant la ronde on a aperçou sur la montaña des silhouettas de hombres à cheval !
- Le chef sursauta, ce qui fit rouler au sol sa maquerelle à moitié nue, aussi imbibée que lui, titubant à se rhabiller.
- Pour lui, sa veste de gradé, son chapeau et sa winchester suffisait, après tout le régiment connaissait par cœur son anatomie, au moins à chaque beuverie oú ils allaient piller les villages de leur catins et les ramener à la caserne. Cette nuit était une de ses sauteries, quatre heure du matin, leur chef sait que beaucoup sont enivrés pour une riposte. Alors il râle, il marche sur une braise qu'il s'enlève en se frottant le pied sur un comateux avachi et il fonce vers l'échelle qui l'amène à la vigie de la tourelle.
- - Putamadre de tú, Qué c'est Qué t'as vu, connard ?
- - Jefe sur la colina ! Tout à l'heure yé vu cincos caballeros Qué étaient guidé par oún indían Qué était aussi à cheval !
- - Armadas ? Vaqueros ó Americanos ?
- - Non Jefe, yé reconnu el indían con la plume sour la tête mais Los otros yé né pas vu el typo de hombre.
- - Sergente, fais préparer 4 banditos, yé veux 4 snipers Qué montent rapidamente à la Montana del Sud por Qué y soient en face dé ces putochicos, yé leur donne 20 minutos, ANDA !!!
- En quelques minutes les banditos sont partis avec leur fusil haute portée, 20 hommes ont été réquisitionné pour se poster sur un des murs en bois qui entourait le camps militaire, un ancien fort adossé à la montagne du Sud, investi depuis par LoS_AdueloS, le ramassi de ce qu'il y a de plus pourri au Mexique, venu s'échouer là, à la frontière des ennemis américains et indiens.
- Mais ce qui n'était pas prévu surgit : un cavalier se présente, seul, au portail de la caserne, torche à la main. Le lieu est pourtant connu comme étant fatal à quiconque et ça n'est pas les environs maculés de tombes, de cadavres et de débris de diligence qui en démentent.
- Se sachant observé de leur chef, le cavalier crie :
- A - Je suis PIBILIETO, le fils de la Revolucíon ! Vous savez qui je suis et vous me recevrez, moi et mes hôtes !
- B - je suis SEÑORITA DONA, cette nuit vous êtes venu enlever 14 de mes filles de saloon, dont deux retrouvées sectionnées en deux dans la chapelle du village ! Je viens demander réparation !!!
- C - Au nom du père et de sa grande Miséricorde, nous vous demandons le salut, nous sommes 20 moines franciscains ainsi que 20 religieuses que nous avions recueilli au monastère DON BOSIO. Mais les indiens nous ont attaqué, il ne reste plus que nous, ils sont à 6h à cheval, aidez nous !
- _________________
- ________________
- ¡ HOLÁ CABRONES Y CABRONITAS !
- Toú peux voter y influencar la Grande Historia
- del FABULOSO ADUELO SUPREM ORGANISATION,
- plus communément appelé EL FASO !
- EL FASO à besoin de ses membres qui y adhèrent en votant, venez prolonger et découvrir la légende DEL FASO !... En votant, la vie DEL FASO c'est A, B OU C, por la vida y por la muerte !!! Tout le monde est bienvenue ! bon voyage...
- ... "La majorité ne sera jamais à moins de 10"...
- S_A
- On lui ouvrit...
- PIBILIETO était le fils d'un grand révolutionnaire, père
- que tout le peuple avait rêvé de voir être gouverneur s'il n'avait pas été assassiné le jour du grand vote ! Dans son dernier souffle il avait crié que son tout jeune fils reprendrait la Lutte et deviendrait un jour le leader du Mexique libre, tant et si bien que le peuple versa des tonnes de pesos en dons pour que le jeune orphelin ait un trésor pour financer la Lutte. PIBILIETO s'était très vite fait construire un palais, tissé des habits d'or et constitué une armée et depuis il tentait de s'imposer comme un puissant et on lui pardonnait bien souvent son opportunisme grâce au souvenir de papa.
- El Jefe descendit dans la coure principale, pas très loin
- de PIBILIETO toujours à cheval :
- - "qui est le chef de cette porcherie ?" Gueula le jeunot.
- - "buenas noches Señor PIBILIETO ! Qué veux tú ?"
- - "c'est toi le bandit dont on parle ? celui qui impressionne rien que par son ombre ? Moi jusque-là c'est plutôt ton odeur qui me terrasse. Et bien je viens te faire savoir qu'il me déplaît que tu ne sois jamais venu me voir, tu sais que je suis le chef naturel de la Rébellion de ce pays et tu aurais dû venir me prêter allégeance ! Aussi je viens réquisitionner moi-même tes hommes qui rejoindront mon armée."
- El Jefe s'approcha, saisit un tonneau de vin qu'il posa
- près du cheval et grimpa dessus pour être dans la lumière, à la même hauteur que PIBILIETO.
- - "Qué se passa PIBILIETO, tú deviens blanco como la luna ?"
- - "je.... Euh... Enfin, vous êtes nues..."
- - "Et après ??? Mes cojones transpirent súr la selle dé
- mon chéval touté la iournée dans lé désert, il faut bien Qué yé les fasse sécher dans la noche fresca ? "
- -"mettez un pantalon, je vous en prie !!!"
- - "oún PATALÓNE ??? Tú ne supportes pas la visíon de la
- natura óu tú fais oún petit complexe, petit hombre ?"
- - "comment oses-tu ???" Dit le jeune homme, blême. Mais sa voix ne couvrait pas les rires del Jefe...
- - "petit hombre de mierda, entre toi et mes banditos, il y
- a oún grosse paire de cojones, grossas comó la poitrinà dé oún putain !"
- El Jefe fit 2 avec les doigts comme le V de la Victoire :
- - "dos merveillosos cojones Qué tú vas devoir embrassar si tú veux partir avec eux ! Dos adorables bouletas de poil Qué adorent les bisous de oún testa de culo como tú !!!"
- Et il brandit ses deux doigts dans le ciel.
- C'était le signal. 5 détonations se firent entendre de la
- montagne, la tête de PIBILIETO et de son cheval s'évaporèrent dans un nuage de sang, toutes deux transpercées par les balles explosives des snipers del Jefe.
- En une fraction de seconde, une flaque de sang et de cervelle s'abattit au sol, alors que le corps du cheval et de PIBILIETO l'ex Fils de la Revolucíon, n'avaient pas encore bougé.
- Quand ils s'écroulèrent, El Jefe avait déjà sauté
- du tonneau. Il se rendit au portail, couvert de bouillie humaine, pistolet à la main.
- En ligne, s'y étaient amassé entre temps une centaine de militaires, ceux de PIBILIETO.
- Derrière el Jefe, une cinquantaine de banditos.
- - "Amenez el cuerpó del putó PIBILIETO et jetez-le à ces
- putamadres de militarios !!! "
- Ce qu'ils firent.
- Puis il s'avança et cria à ses propres hommes :
- ____________________
- A - "Prenez les armes, enfermez vous dans lé Fort, on va
- lé défendre !"
- B - "Chargez !!!!!! Butez-moi todos los batardós de la
- Revolucíon !!!"
- C - "Tous à poil, brûlez les provisions, les habits et ne
- vous battez pas avec eux, déposez les armes, on va sé rendre, mais tout nue !"
- C :
- 5 jours déjà que la colonne de militaires et de prisonniers en file indienne marchait dans le désert, à sa tête le général Wulf HUCKIOU, une soixantaine d’années et américain, bras droit de PIBILIETO.
- Ses hommes étaient épuisés, bien plus que leurs prisonniers. D’une belle prise ils étaient passés à une situation cauchemardesque, HUCKIOU ne voyait pas encore la hauteur du piège et pourtant il était bel et bien la marionnette de ses propres prisonniers, El Jefe l’avait eu sur toute la ligne :
- D’abord ils se sont rendus nus en ayant brûlé toute provision ou textile dans leur caserne, il ne restait pas un bout de toile pour couvrir les prisonniers, du coup les militaires de PIBILIETO ont été décontenancé, nus sans se battre, difficile de tuer un ennemi quand on a un foutu code d’honneur, obligé de les laisser en vie. Aucune perte ennemi s’était autant de bouches à nourrir pendant le trajet jusqu’au pénitencier, rognant sur les rations de ses propres hommes, manger et boire si peu a affaiblit le régiment de PIBILIETO, bien moins endurants dans ces géographies que ces bâtards d'AduelóS.
- Et puis nu, ça rendait impossible de parader avec les vaincus et leur queue à l'air, dans les rares villages au passage sans choquer la population très croyante, et pas de village c’est pas de ravitaillement, pas d'eau et rien à bouffer, ça aussi son orgueil de victoire l’a empêché de l’anticiper, impossible d'y envoyer quelques hommes qui manqueraient à surveiller Los_Aduelos, trop dangereux le sous-effectif.
- HUCKIOU était coincé, ses hommes à bout par tant de marche en plein cagnard , épuisés aussi par le poids de leur équipement, tandis que Los_Aduelos, tout légers du coup, marchaient enchaînés, mais encore très frais, EL JEFE en tête, large sourire, fixant le cul du cheval du général.
- - ça fait deux jours que je t'observe, Jefe, qu'est-ce que tu manigances à regarder le cul de mon cheval ?
- - Nó EL culo del cheval Yénéral, yé regarde el magnifico pistolet qué vous avez à la ceintura, yé suis oún collectionor de arma, yé né jamais vu celle-là !
- - Ce mousquet espagnol me vient d'un ancêtre conquistador qu'il avait pour commander des troupes au Brésil, tu es connaisseur !
- - Yé voudrais pouvoir lé toucher.
- - et qu'ensuite tu le retournes contre moi, je ne suis pas stupide !
- - Nô Señor Yénéral, vous demandez à vos soldats de me mettre en joug, vous gardez la crosse vers vous, yé né touche Qué lé canón et si yé lé retourne, vous m'abattez !
- HUCKIOU plus très lucide ou en manque de sensations fortes, ordonne à ses hommes de pointer leurs armes sur EL JEFE puis prudemment il tend son flingue sur Jefe en le tenant par la crosse, doigt sur la gâchette. EL JEFE voit le canon s'approcher de ses yeux, lentement il lève la main et caresse l'arme, fasciné. Il passe ses doigts sur les gravures ciselées, l'effleure de la mire de visée vers la chambre.
- Soudain, il enfile son doigt dans la gâchette en passant par dessus le doigt du général et presse la détente ! Le pistolet tire et, dans un gros nuage de fumée, la cervelle du JEFE s'éparpille sur tout les uniformes aux alentours ! Il ne se passe pas 10 secondes, comme si c'était normal, prévu, pour que tout les AduelóS se mettent à hurler à l'unisson :
- - ADIOS EL JEFE, VIVA BENICÍO ! BENICÍO BENICÍO BENICÍO !!!
- Chez AduelóS on devient chef parcequ'on est le plus dangereux et lorsqu'on ne peut plus l'être, on passe la main. Et le plus fou d'entre eux maintenant, c'est BENICÍO...
- A 700 mètres de là, suivant la colone depuis une crête qui les longe, 5 hommes à cheval se dissimulent derrière de larges rochers. Ce sont les 5 snipers quel JEFE avait envoyé pour tirer sur PIBILIETO.
- - BENICÍO, je crois qu'ils crient ton nom, EL JEFE a dû te laisser la main, on fait quoi ?
- BENICÍO est un géant monstrueux qui ne parle jamais, sauf si c'est pour décider de la mort de quelqu'un. Il est né sur un cheval lors de la campagne des AduelóS contre les yankees américains, et comme la position était compliquée pour sa mère, en l'expulsant il vint se planter la tête dans une boucle en fer de la selle, depuis il n'a qu'un œil mais celui qui lui reste est envié par tout les snipers du pays.
- _____________________________
- Sans un mot, BENICÍO qui attendait un signal pour agir, porte la lunette de son fusil à son œil, ajuste et tire sur :
- A - Un AduelóS, le tout dernier de la file indienne.
- B - Un baril de poudre qui sert de siège au chauffeur du chariot médical de la troupe.
- C - le Général Wulf HUCKIOU.
- Réponse D : BENICÍO choisit de tirer dans l'anus d'un des chevaux qui tractait la carriole (Qué ça vous apprendra dé niquer lé vote Qué c'est n'importe quoí^^)
- La balle, dans la douleur que vous imaginez, perfora le scrotum de l'animal pour lui perforer les intestins et se loger dans le poumon. En plus d'une lente agonie elle était aussi gage d'une agonie furieuse, le cheval se rua comme une bête possédée, fracassant les autres chevaux attelés, retournant la carriole.
- Puis BENICÍO chargea une balle perforante en argent, il avait repéré devant lui une brochette de 6 soldats parfaitement en ligne, sa balle rentra dans la tempe du premier et sortit de la tempe du 6eme, dégageant instantanément un rideau de pluie en plein ciel, ce qui acheva de terroriser tout les soldats, pendant que Los_AdueloS hurlaient de rire au son de BENICÍO BENICÍO !!!
- Dans la panique HUCKIOU mena ses soldats au front, laissant tous les AdueLoS enchaînés à l'arrière.
- Tandis que les soldats étaient tous regroupéś cherchant BENICÍO du regard, les AduelóS se sont mis en ligne, tous bras écartés, autant d'hommes droit debout, reliés par des chaînes, de loin on aurait dit un immense râteau ! Et l'immense râteau ratissa : en silence ils coururent en ligne droite et ratissèrent, ils arrivaient dans le dos des soldats, hurlèrent dans les derniers mètres, les malheureux soldats n'eurent le temps que de se relever et se retourner mais les chaînes firent leur travail... Instantanément, la vitesse de l'attaque décapita ou broya le cou de chaque hommes debout, les chaînes passant comme des lames, fracassant comme des masses.
- Il aura fallu à des hommes tout nus, quatre balles, des chaînes et un sprint de 50m pour terrasser en une poignée de seconde toute une armée.
- La suite est assez flippante, leur habitude après ce genre de tuerie c'était de manger. Le réflexe ne fut pas d'oter les chaînes ou de s'habiller avec les uniformes des cadavres. Le réflexe de chacun fut de s'assoir à côté du cadavre le plus proche et de lui ouvrir le ventre avec les dents pour s'en nourrir. On sait aussi que BENICÍO avait aussi une passion, celle de réussir l'équilibre difficile de dépecer patiemment l'intégralité de la peau d'un homme sans qu'il rende l'âme avant d'avoir été intégralement pelé. Essayez, c'est quasiment impossible ! Bref, BENICÍO s'étant fait par la suite un bracelet avec les dents d' HUCKIOU, il est probable qu'il ait donc eu la satisfaction de peler ce gradé avant son dernier souffle..
- Ensuite, Los_Aduelos ont récupéré sang, terre, graisse, encre, essence, tout ce qui pouvait être liquide dans les affaires de leurs victimes, ils ont creusé un trou, mélangé le tout pour créer une mélasse et y ont laissé macéré tout les uniformes des cadavres et ont laissé cuire ces fringues au soleil. Après ils les ont tapé, brossé et s'en sont habillés, comme dans leur coutume, un tissu mêlé à une croute, qu'on trempait 1 fois par mois dans l'essence et qu'on gardait pour rentrer dans une rivière, c'était leur secret et l'expression de leur mentalité.
- Prochaine étape, des femmes, un village...
- _____________________________
- A - dans le prochain épisode, vous souhaitez un tournage de film porno (si c'est possible, sinon je propose pas^^)
- B - vous en avez marre et ne souhaitez pas la suite à la prochaine ère !
- C - dans le prochain épisode BENICÍO doit mourir !!!
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