poeme imbecile du 3 juillet 2016

Baffouille bredouille des embrouilles et ribambelle de bretzel aguicheur
je me languis de ta sœur
c'est pas vrai mais ca rime, quand je joue a skyrim
au lieu de coder une superbe demos qui ne mache pas mes mots
je vocifere dans mes artere un cachet de splendeur en pleur
la truite de schuber se balance tendrement en un eclat de guimauve tout chose
la fenouille des andouilles nonobste comme il peut l'effroiyable afront de la pamoison
le primtemps se sacrifie en d'immonde salsifie
beaucoup de bouffe dans ce poeme moyenement delirant
petite chaleur nocturne des pecnot taciturne
je glande a qui mieux mieux et danse avec quelque starlette imaginaire et imbecile qui ne bouge pas un cil lorsque la bise fut venu
parole semi automatique comme dans un lavomatique
je seche mon linge dans un tournoiement burlesque qui ne fait rire que ma veste
ah ginette ! Tu es si belle dans ta chemise noire et tes bas nylon ni court
tu me fait penser a un ciel d'ete, mais pas celui de cette année
en effet le temps est morose autant que ma prose acariatre et pathogene
et les papillons virevolte en de moult ablation
a la recherche d'une dose d'ostentation peremptoire dans le placard des idée saugrenu
idéal blafard a la lumiere d'un etendard qui se noie dans l'ivresse d'un pataques extatique